Huit sources d’énergie non conventionnelles
La Terre est en difficulté, et c’est certainement de notre faute. Les méthodes traditionnelles de production d’électricité ne sont pas durables et l’humanité recherche de nouvelles sources d’énergie et des moyens de l’obtenir qui ne polluent pas l’environnement.
Reconnaître le besoin de sources d’énergie alternatives n’est pas nouveau. Les scientifiques travaillent dans ce domaine depuis de nombreuses années, et les premiers résultats sont certainement déjà là. Cependant, aujourd’hui, nous voulons vous présenter 8 sources d’énergie dont vous n’avez peut-être pas entendu parler.
1. L’énergie du métro
Quiconque a utilisé le métro sait que la température sous terre peut atteindre un point où vous pouvez transpirer abondamment même en hiver. Afin de ne pas perdre cette chaleur, les scientifiques ont trouvé un moyen de la capter et de la transformer en électricité. Cette technologie est utilisée depuis longtemps dans les pays scandinaves et a été récemment adoptée à Londres.
2. Alcool confisqué
L’année dernière, le service national des douanes suédois a confisqué 185 000 gallons d’alcool illégal. Mais au lieu de le jeter dans les égouts, les autorités scandinaves ont décidé de l’utiliser comme carburant pour 1 000 camions et bus, et même un train.
3. Couches usagées
En Allemagne, une centrale électrique inhabituelle qui utilise des couches sales comme source d’énergie fonctionne depuis de nombreuses années. Une entreprise appelée Windel-Willi produit 1240 kilowatts d’électricité.
4. Piste de danse
Les gens peuvent générer leur propre énergie, comme se déplacer sur la piste de danse d’une boîte de nuit. La piézoélectricité est la capacité de certains matériaux à générer un champ électrique en réponse à une pression mécanique et à un choc. En plaçant des carreaux en matériau piézoélectrique sur les allées populaires ou même sur la semelle de nos chaussures, de l’électricité peut être générée à chaque pas, transformant les gens en centrales électriques ambulantes.
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5. Réacteurs au thorium
Des plans ont déjà été élaborés pour le premier réacteur nucléaire alimenté au thorium au monde, qui devrait entrer en service en 2016. Contrairement aux centrales électriques modernes qui utilisent de l’uranium, il n’utilise pas de matière explosive. Le thorium est plus abondant que l’uranium, il est donc beaucoup moins cher à transporter. En revanche, les réacteurs au thorium ne nécessitent pas de conteneurs particuliers. Selon les calculs, le réacteur au thorium fonctionnera de manière autonome, sans nécessiter de surveillance constante. Théoriquement, il devrait être vérifié une fois tous les quatre mois.
6. Des panneaux solaires dans l’espace
Grâce à l’énergie solaire, nous avons le cycle de 24 heures du jour et de la nuit, le changement climatique et d’autres processus sur terre. Il existe des propositions visant à utiliser des panneaux solaires pour générer de l’énergie en orbite et ensuite l’utiliser sur Terre. Les avancées technologiques dans ce domaine comprennent la transmission d’électricité sans fil, qui peut être réalisée en étudiant les propriétés du rayonnement micro-ondes.
7. L’énergie de l’eau salée
Cette énergie est aussi appelée osmotique ou bleue. C’est l’une des nouvelles sources d’énergie renouvelable les plus prometteuses qui n’est pas encore pleinement développée. Le dessalement de l’eau de mer nécessite une grande quantité d’énergie, mais le processus inverse ne consomme pas d’énergie, mais en libère. Grâce à un procédé appelé électrodialyse inverse, il est possible de produire naturellement de l’électricité en produisant de l’eau salée dans des conditions naturelles d’utilisation.
8. Méduse
Des scientifiques suédois ont mis au point une pile à combustible microscopique utilisant une source d’énergie très exotique — la protéine de méduse. Une espèce de méduse préférée — Aequorea Victoria — vit sur la côte atlantique de l’Amérique du Nord. Les méduses brillent dans le noir grâce à cette protéine. Lorsqu’une goutte de protéine est placée sur des électrodes en aluminium et exposée à la lumière UV, un courant électrique circule à travers le fil, suffisamment d’énergie pour alimenter n’importe quel nanodispositif.
